“Marseille fait partie de ce monde méditerranéen qui nous est bien étranger sous bien des aspects. Marseille avec ce monde méditerranéen a su s’ouvrir au monde et lui offrir ce qu’elle a de meilleur et en même temps accueillir ce monde pour s’y forger une identité. C’est cette Marseille que nous sommes allés rencontrer avec des spiritains qui y sont présents depuis de nombreuses années.” Extrait de l’édito de Franz Lichtlé, rédacteur en chef
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“Votre charisme, ouvert et respectueux, est particulièrement précieux aujourd’hui, dans un monde où le défi de l’interculturalité et de l’inclusion est vivant et urgent, à l’intérieur et à l’extérieur de l’Église. C’est pourquoi je vous dis : ne renoncez pas à votre courage et à votre liberté intérieure, cultivez-les et faites-en un élément vivant de votre apostolat.”
La presse, ces jours-ci, n’a pas manqué d’enfermer Jacques dans ce personnage rebelle, progressiste, contestataire, sanctionné, relégué, ou dans cet évêque rouge … Mais la poésie de la vie de Jacques s’écrivait ailleurs, autrement. Elle proclamait ses rimes avec l’homme blessé, rencontré au hasard de sa route, sans distinction de religion, de condition. Des femmes, des hommes, des jeunes, qui dans l’église et hors de l’église, avaient le sentiment de ne pas exister, celles et ceux qui se sentaient laissés au bord du chemin.
En mars-avril, la visite canonique permit de prendre connaissance de ce que nous vivons dans notre province, nos communautés, nos engagements pastoraux, nos relations avec l’Église locale, et entre nous profès et laïcs. Elle se termina par un forum de printemps à Chevilly Larue, réunissant une centaine de profès et laïcs spiritains.